1er Julia Mamesta Augusta, ayant au revers SC ; Vesta Gallienus P F, ayant au revers Germanicus
Maxù est un trophée d’armes au pied duquel sont deux esclaves;
3ème Imp.C.M.P.Trajanus decius Aug. , ayant au revers Damna Ml œ.
Bref, en 1428, la seigneurie des Coutots appartenait « par moitié et par indivis au Chapître d’Autun et aux Hospitaliers de Belle-Croix, laquelle moitié, qui était du chef du Duc, fut longtemps es mains dudit Duc et gouvernée par le Châtelain de Montcenis ; elle avait été donnée, en 1410, en échange, au doyen dudit Chapître d’Autun par Hugues de Ternant, chevalier, contre 15 livres de rente sur la terre de Rossillon qu’avait ledit chapître par fondation d’une Chapelle, de feu Robert de Martinpuis, aussi bailli d’Autun, qui l’avait acquis de feue dame Agnès de Menesserre. »
En 1701, 1702 et 1703, dans un Cahier de la Justice des Coutots, il est écrit : "terre, justice et seigneurie d’Ecoutot, de Messire Henry de Ludre, chevalier de l’ordre de Saint-Jean de Hiérusalem, commandeur de Belle-Croix ». D’après ce même cahier, la justice se rendait deux fois par année, dans la Chapelle Saint Jean de ce hameau, par les délégués du Seigneur. Un de ces délégués s’appelait François Bart, praticien au Breuil. La liste des justiciables de cette seigneurie porte 22 noms.
On y trouve : des Girardot, le Roux, Pernette, Dequincy, Prost, Tepeney, Chaillet, Vary, Simonot, Panes ou Panet, Crestien, Guillet, Mathey, Bonnot, Patigny, Collin, Monnier, Tixier, Delorme, Barbotte, etc.
Le procureur de cette justice était alors Jean Cadau ; son notaire était Lazare Bouthenet, de Couches.
D’après un acte de 1702, une partie du hameau est dite appartenir « aux sieurs de la cathédrale d’Autun. »